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Les comportements d'influence ("Influencer") sont ceux qui visent à donner une direction. Ils ont trait au développement d'un réseau professionnel, au management d'une équipe, à la prise de décision ou encore à la volonté de passer ses idées. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à mobiliser les autres et sur la façon d'entrer en relation.
Les comportements de coopération ("Coopérer") sont ceux qui visent à faciliter le travail collectif. Ils ont trait aux échanges entre les personnes, à la gestion des conflits, à l'utilisation des ressources dont l'équipe dispose ou encore à l'entraide entre chacun. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à évoluer au sein d'un collectif.
Les comportements de réflexion ("Réfléchir") sont ceux qui visent à penser les projets. Ils ont trait à l'élaboration de stratégie, à l'identification des risques liés à un projet, à l'étude des situations de travail ou encore à l'apport de nouvelles idées. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à appréhender les concepts, plutôt que les aspects pratiques d'une activité.
Les comportements de réalisation ("Agir") sont ceux qui visent à produire des résultats. Ils ont trait à l'initiation des projets, à la mise en oeuvre d'un plan d'action, au suivi des résultats obtenus ou encore à la validation de la qualité de ce qui est produit. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à appréhender les tâches concrètes, plutôt qu'abstraites.
Les comportements de ressenti ("Ressentir") sont ceux qui visent à gérer les émotions. Ils ont trait à la façon de réagir sous stress, au degré d'énergie déployée au quotidien, aux émotions diffusées auprès de l'entourage. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à exprimer et utiliser ses émotions dans différents contextes.
Jean-Francois Marin apparaît comme quelqu'un de déterminé et volontaire. Proactif, il est toujours à la recherche de propositions et d'actions pour faire avancer son travail. Il aborde son activité de manière souple et gère aisément le changement et les imprévus. La façon engageante avec laquelle il présente ses idées laisse peu de place au doute pour son interlocuteur : on veut le suivre. Il est doté d'un leadership et d'une volonté de progrès continu qui font de lui un moteur incroyable dans une équipe.
Jean-Francois Marin possède une énergie majoritairement tournée vers l'action. Ses sources de motivation le mettent en mouvement et l'amènent à prendre des risques. Il a besoin d'être stimulé pour maintenir son intérêt envers une activité ou un poste. Pour lui, la stabilité est synonyme d'ennui et de lassitude. Il est intéressant de lui proposer régulièrement de nouveaux défis.
L'activité de conception est essentielle pour que Jean-Francois Marin se sente pleinement engagé. Mettre à contribution son imagination et ses idées est en effet primordial pour lui car il en tire beaucoup d'énergie et d'intérêt. C'est une de ses façons de se réaliser à travers son travail.
Cette activité peut tout à fait convenir à Jean-Francois Marin dans la mesure où elle implique un regard détaché et une prise de position forte sur un sujet. Il aime challenger le point de vue des autres et apporter son regard sur un sujet. Il apprécie de pouvoir faire preuve d'indépendance dans ses jugements.
Propulser des projets est une activité dans laquelle Jean-Francois Marin peut se retrouver. Il est en effet relativement stimulé par les défis et apprécie d'impulser de l'énergie dans son travail. Cela reste cependant une source de motivation secondaire pour lui, qui vient en complément pour renforcer son engagement.
Jean-Francois Marin est un manager inspirant qui cherche à faire progresser ses collaborateurs sur le plan personnel. Il a un plan d'action pour chacun et se positionne en tant que mentor. C'est un manager qui entraîne vers un objectif collectif mais qui se montre également capable de prendre en compte les singularités de chacun.
Jean-Francois Marin attend d'un manager que celui-ci soit à l'écoute et qu'il définisse les objectifs du groupe de manière participative. Il est motivé par les leaders qui impliquent toute l'équipe dans l'atteinte de l'objectif. Il a besoin de quelqu'un qui donne du sens au travail à accomplir, qui s'attache moins aux résultats à obtenir et davantage à la meilleure façon d'y parvenir.
Jean-Francois Marin cherche un cadre de travail dynamique tourné vers le résultat. Il se retrouve dans une culture d'entreprise qui valorise l'innovation en adoptant une approche souple du travail. Chacun y est libre dans sa façon de procéder du moment que les objectifs sont atteints. Il a besoin d'un cadre de travail qui évolue régulièrement pour intégrer de nouveaux modes de fonctionnement et qui soit régulièrement remis en question. En effet, il attend d'être stimulé par son environnement et en aucun cas de se fixer dans une routine de travail. En définitive, peu de règles lui sont nécessaires, il a besoin d'une culture qui valorise les accomplissements.
Capacité à intervenir sur des tâches connues et déjà expérimentées.
Il a besoin d'avancer vite et de passer d'une tâche à l'autre sans rester bloqué.
Apprend en testant et en faisant ses propres erreurs.
Pour apprendre de nouveaux savoirs, Jean-Francois Marin a besoin de les éprouver concrètement. Il développe ses compétences au fur et à mesure des expériences terrains qu'il cumule. Les aspects théoriques ou trop abstraits lui sont souvent étrangers, et ne lui permettent pas de progresser. Il a en effet plus de difficultés à les transposer dans le cadre du travail. C'est en pratiquant et à force de répétition qu'il s'approprie les nouvelles connaissances.
Le tempérament spontané de Jean-Francois Marin l'amène à apprendre en testant par lui-même des concepts ou techniques. Pour lui, la meilleure façon d'acquérir de nouvelles connaissances est avant tout d'essayer, échouer au besoin pour comprendre, puis recommencer. Il peut parfois manquer de patience. Pour intégrer de nouvelles idées ou de nouvelles connaissances, il a avant tout besoin de les expérimenter par lui-même.