Responsable régional des ventes
Les comportements d'influence ("Influencer") sont ceux qui visent à donner une direction. Ils ont trait au développement d'un réseau professionnel, au management d'une équipe, à la prise de décision ou encore à la volonté de passer ses idées. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à mobiliser les autres et sur la façon d'entrer en relation.
Les comportements de coopération ("Coopérer") sont ceux qui visent à faciliter le travail collectif. Ils ont trait aux échanges entre les personnes, à la gestion des conflits, à l'utilisation des ressources dont l'équipe dispose ou encore à l'entraide entre chacun. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à évoluer au sein d'un collectif.
Les comportements de réflexion ("Réfléchir") sont ceux qui visent à penser les projets. Ils ont trait à l'élaboration de stratégie, à l'identification des risques liés à un projet, à l'étude des situations de travail ou encore à l'apport de nouvelles idées. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à appréhender les concepts, plutôt que les aspects pratiques d'une activité.
Les comportements de réalisation ("Agir") sont ceux qui visent à produire des résultats. Ils ont trait à l'initiation des projets, à la mise en oeuvre d'un plan d'action, au suivi des résultats obtenus ou encore à la validation de la qualité de ce qui est produit. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à appréhender les tâches concrètes, plutôt qu'abstraites.
Les comportements de ressenti ("Ressentir") sont ceux qui visent à gérer les émotions. Ils ont trait à la façon de réagir sous stress, au degré d'énergie déployée au quotidien, aux émotions diffusées auprès de l'entourage. Ces comportements renseignent sur la capacité naturelle à exprimer et utiliser ses émotions dans différents contextes.
On pense souvent que créativité et rigueur s'opposent ; Jerome Morand en est le contre-exemple. Il se montre curieux envers la nouveauté, cherche une activité stimulante avec un rythme de travail soutenu. Il accorde tout autant d'importance à produire un travail de qualité. Il fait en sorte de ne pas trop s'illusionner et de prêter une attention particulière à aller au bout des projets qu'il entreprend. Indépendant dans la façon de conduire son travail, il est davantage centré sur sa mission que sur le versant relationnel de son activité.
Les facteurs de motivation de Jerome Morand l'amènent à privilégier la stabilité. Il utilise son énergie pour développer des repères et points de référence sur lesquels s'appuyer. Il apprécie de pouvoir établir une certaine régularité dans la façon il gère son activité. Il évite de prendre des décisions qui génèreraient de l'incertitude dans sa situation.
Analyser est une source principale de réalisation personnelle pour Jerome Morand. Il apprécie de pouvoir aborder les situations de façon objective et rationnelle. Il tient particulièrement à ce que les décisions importantes soient prises en conséquence, et pas de façon intuitive ou pour satisfaire les uns ou les autres.
Jerome Morand est intéressé par le fait d'intervenir sur l'organisation du travail. C'est quelqu'un qui apprécie en effet de fixer des règles et des repères pour réaliser un projet. Il serait frustré de se lancer dans une activité sans avoir préalablement défini un plan à suivre.
Jerome Morand a besoin de réaliser des activités qui sollicitent sa créativité. D'un autre côté, il apprécie d'avoir des bases sur lesquelles s'appuyer. Il est donc intéressé par les activités qui sollicitent son imagination dans un objectif bien précis et des conditions claires.
Jerome Morand est un manager qui prend les choses en main et qui fournit des consignes claires. Il fait savoir ce qui est attendu et évite ainsi toute ambiguité. Pour lui, un leader doit exprimer clairement sa vision et donner le cap à suivre au groupe. Il valorise le respect des principes et la fiabilité.
Jerome Morand attend d'un manager que celui-ci anime le collectif et fasse en sorte de donner sa place à chacun. Il a besoin de quelqu'un qui soit à l'écoute, qui sache entendre ses idées. Il aime qu'un leader soit capable de fixer des plans de développement individuels mais que le travail quotidien soit réalisé en groupe. Il accorde énormément d'importance à l'intelligence collective.
Jerome Morand s'épanouit dans une culture structurante centrée sur les résultats. Évoluer dans un cadre de travail avec des principes et des règles à suivre lui convient parfaitement. En effet, il a besoin de savoir ce qui est permis ou non pour se créer des repères fiables sur lesquels s'appuyer. Il aime constater que tout est mis en place pour optimiser le travail et garantir l'atteinte des objectifs. Il cherche en effet un cadre qui juge avant tout les personnes sur leurs accomplissements et leur capacité à se montrer exemplaires. En ce sens, une culture compétitive est motrice pour lui car elle fournit des règles claires à suivre et des objectifs précis à atteindre.
Capacité à gérer son activité en autonomie.
Prend le temps de tirer le meilleur parti des ressources disponibles.
Apprend en testant et en faisant ses propres erreurs.
En ce qui concerne le développement de nouvelles compétences, Jerome Morand progresse plus rapidement à travers une pratique concrète. Il lui est difficile d'intégrer un ensemble d'informations sans les voir en situation. Le plus pertinent est donc de lui montrer comment faire les choses avant de le faire intervenir sur un sujet nouveau ou complexe.
Le tempérament spontané de Jerome Morand l'amène à apprendre en testant par lui-même des concepts ou techniques. Pour lui, la meilleure façon d'acquérir de nouvelles connaissances est avant tout d'essayer, échouer au besoin pour comprendre, puis recommencer. Il peut parfois manquer de patience. Pour intégrer de nouvelles idées ou de nouvelles connaissances, il a avant tout besoin de les expérimenter par lui-même.